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La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 650
15. (suite) De cet amour, de cette sagesse, Paul et Isaïe sont des témoins tout à fait probants. L’un dit précisément : « L’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint qui nous a été donné (Rm. 5,5). Et Isaïe, parmi les sept énergies de l’Esprit, compte clairement l’esprit de sagesse (Cf. Is. 11,2). Lire le reste de cette entrée »
La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 649-650
15. (suite) C’est chose merveilleuse, douce et plein de grâce de comprendre ce qui arrive alors et qui est dans la source, laquelle figure, jaillissant du milieu du cœur, comme on l’a expliqué, le mouvement et l’énergie surnaturels de l’Esprit vivifiant. Lire le reste de cette entrée »
La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 649
15. (suite) Mais le paradis ne va pas sans les eaux. Car celui qui l’a découvert doit en porter les plantes fécondes, et naturellement les fruits. Au milieu du paradis en Éden on voit donc une source jaillissante divisée en quatre courants et arrosant la face de la terre, ainsi qu’il est écrit (Cf. Gn. 2,6). Lire le reste de cette entrée »
La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 649
15. De même que le corps visible de l’homme est une image où transparaît ce qui en lui est invisible, de la même manière le Paradis de toute beauté que dans sa sagesse Dieu planta en Éden à l’Orient (Cf. Gn. 2,8) est une image de l’homme intérieur qui a pour terre son propre cœur et pour arbres (ces arbres que doit planter de toute volonté l’intelligence créée à l’image de Dieu) les nombreuses et diverses contemplations de Dieu, les pensées et singulièrement les manifestations divines. Lire le reste de cette entrée »
La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 648
9. Ce que l’Esprit Saint met en mouvement dans l’âme, dès lors qu’elle combat, comble de sérénité le cœur qui crie : « Abba, Père ! » (Cf. Gal. 4,6). Ce mouvement lui-même n’a ni figure, ni forme. Mais il transfigure par la splendeur de la lumière divine, et il donne forme naturellement sous l’ardeur de l’Esprit de Dieu. Il nous change, il nous fait autres, comme seul, dans son pouvoir, Dieu le sait. Lire le reste de cette entrée »
La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 647-648
5. De même que l’eau coule d’une source inépuisable, de même l’eau de la vie, l’eau jaillissante (Jn 4,14), coule de l’âme. C’est cette eau qui habitait dans l’âme d’Ignace le Théophore et qui le portait à dire : « Il n’y a pas en moi de feu pour aimer la matière, mais une eau qui agit et qui parle (Ignace d’Antioche, Lettres, Aux Romains, VII, 2). » Lire le reste de cette entrée »
La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 647
1. Si tu veux apprendre la vérité, imite l’exemple du joueur de cithare. Il tient sa tête inclinée vers le bas, et accordant l’oreille au chant, il manie le plectre. En même temps que les cordes sont touchées les unes après les autres avec art, la cithare fait se répandre la mélodie, et le citharède exulte sous cette douceur de miel. Lire le reste de cette entrée »
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