You are currently browsing the category archive for the ‘Saint Jean Chrysostome’ category.

Homélies sur saint Matthieu, 29, 1-3 (trad. cf. Véricel, L’Évangile commenté, p. 102)

« Des gens lui amènent un paralytique. » Les évangélistes racontent qu’après avoir percé le toit ils ont descendu le malade et l’ont déposé devant le Christ, sans rien demander, laissant faire Jésus. Lire le reste de cette entrée »

4e homélie sur saint Paul, 1-2

Le bienheureux Paul qui nous rassemble aujourd’hui a éclairé la terre entière. Il a été aveuglé à l’heure de son appel, mais cette cécité a fait de lui un flambeau pour le monde. Il voyait pour faire le mal ; dans sa sagesse Dieu l’a aveuglé afin de lui donner la lumière en vue de faire le bien. Non seulement Dieu lui a montré sa puissance ; il lui a révélé aussi le cœur de la foi qu’il allait prêcher, lui disant de fermer les yeux, c’est-à dire de chasser les préjugés et les fausses lumières de la raison pour accueillir la bonne doctrine, « devenir fou pour être sage » comme il le dira plus tard (1Co 3,18)… Lire le reste de cette entrée »

Homélies sur Mt, 44 (trad. Véricel, L’Evangile commenté p. 138s)

« Voici que le semeur est sorti pour semer. » D’où est-il sorti, celui qui est présent partout, qui remplit l’univers entier ? Comment est-il sorti ? Non pas matériellement, mais par une disposition de sa providence à notre égard : il s’est rapproché de nous en revêtant notre chair. Puisque nous ne pouvions pas aller jusqu’à lui, nos péchés nous en interdisant l’accès, c’est lui qui vient jusqu’à nous. Et pourquoi est-il sorti ? Pour détruire la terre où foisonnaient les épines ? Pour en punir les cultivateurs ? Pas du tout. Il vient cultiver cette terre, s’en occuper et y semer la parole de sainteté. Car la semence dont il parle est, en effet, sa doctrine ; le champ, l’âme de l’homme ; le semeur, lui-même… Lire le reste de cette entrée »

3ème Homélie sur l’inscription des Actes des Apôtres ; PG 51,87 (trad. coll. Migne, n° 66, p. 132)

La lecture des saintes Écritures est un pré spirituel et un paradis de délices, bien plus agréable que le paradis d’autrefois. Ce paradis, Dieu ne l’a pas planté sur la terre, mais dans les âmes des fidèles. Il ne l’a pas placé dans l’Éden, ni en Orient dans un lieu précis (Gn 2,8), mais il l’a étendu partout sur la terre et l’a déployé jusqu’aux extrémités de la terre habitée. Et puisque tu comprends qu’il a étendu les saintes Écritures sur toute la terre habitée, écoute le prophète qui dit : « Leur voix a retenti par toute la terre et leurs paroles jusqu’aux extrémités du monde » (Ps 18,5; Rm 10,18)… Lire le reste de cette entrée »

Homélies sur la conversion, n°3, sur l’aumône (La conversion, coll. Les Pères dans la foi, n°8; trad. M.-H. Stébé; Éd. DDB 1978, p. 54)

Les pauvres devant l’église demandent une aumône. Combien donner ? C’est à vous de décider ; je ne fixerai pas de montant, afin de vous éviter tout embarras. Achetez dans la mesure de vos moyens. Vous avez une pièce ? Achetez le ciel ! Non pas que le ciel soit offert à bon marché, mais c’est la bonté du Seigneur qui vous le permet. Vous n’avez pas de pièce ? Donnez un verre d’eau fraîche (Mt 10,42)… Lire le reste de cette entrée »

Homélies sur l’évangile de Matthieu, n° 13,1 ; PG 57, 207 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 339s)

« Après son baptême, Jésus a été conduit par l’Esprit à travers le désert, où il a été mis à l’épreuve par le démon »… Tout ce que Jésus a fait et enduré était destiné à nous instruire. Il a donc voulu être conduit en ce lieu pour lutter avec le démon, afin que personne parmi les baptisés ne soit troublé si après son baptême il subit de plus grandes tentations, comme si c’était extraordinaire ; mais il doit supporter tout cela comme étant dans l’ordre des choses. C’est pour cela que vous avez reçu des armes : non pour rester oisifs, mais pour combattre. Lire le reste de cette entrée »

Homélies sur l’évangile de Matthieu, n°29, 2 ; PG 57, 359 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 246 rev.)

Les scribes professaient que Dieu seul peut remettre les péchés. Mais Jésus, avant même de remettre les péchés, a révélé les secrets des cœurs, montrant par là qu’il possédait aussi cet autre pouvoir réservé à Dieu. (…) Car il est écrit : « Toi seul, Seigneur, tu connais les secrets des humains », et « L’homme voit le visage et Dieu voit le cœur (2Ch 6,30; 1S 16,7). Jésus révèle donc sa divinité et son égalité avec le Père en dévoilant aux scribes le fond de leur cœur, en divulguant des pensées qu’ils n’osent pas déclarer ouvertement par crainte de la foule. Et il fait cela avec beaucoup de douceur. (…) Lire le reste de cette entrée »

Homélie 1 sur la Croix et le Larron, 1 ; PG 49, 399-401 (trad. Orval)

Aujourd’hui notre Seigneur Jésus Christ est en croix et nous sommes en fête, afin que vous sachiez que la croix est une fête et une célébration spirituelle. Jadis la croix désignait un châtiment, maintenant elle est devenue objet d’honneur. Autrefois symbole de condamnation, la voici maintenant principe de salut. Car elle est pour nous la cause de biens innombrables : elle nous a délivrés de l’erreur, éclairés dans les ténèbres et réconciliés avec Dieu ; nous étions devenus pour lui des ennemis et des étrangers lointains, et elle nous a rendu son amitié et rapprochés de lui. Elle est pour nous la destruction de l’inimitié, le gage de la paix, le trésor de mille biens. Lire le reste de cette entrée »

8ème Homélie sur la lettre aux Romains, 8 ; PG 60, 464

« Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, dit Jésus, je suis au milieu d’eux » (Mt 18,20)… Mais qu’est-ce que je vois ? Des chrétiens qui servent sous le même étendard, sous le même chef, se dévorent et se déchirent : les uns pour un peu d’or, d’autres pour la gloire, certains sans aucun motif, d’autres pour le plaisir d’un bon mot !… Parmi nous, le nom de frères est un vain mot… Lire le reste de cette entrée »

Trad. SC 187, p. 321 rev. Brésard

« Voici le jour que le Seigneur a fait ; passons-le dans la joie et dans l’allégresse ! » (Ps 117,24) Pourquoi ? Parce que le soleil n’est plus obscurci, mais tout s’illumine ; le voile du Temple n’est plus déchiré, mais l’Église est révélée ; nous ne tenons plus des rameaux de palmier, mais nous entourons les nouveaux baptisés. Lire le reste de cette entrée »

Homélies sur la lettre aux Romains, n°24 (trad. Bourguet, Matthieu médité, p. 188)

Plus le roi s’approche, plus il faut se préparer. Plus est proche le moment où l’on décernera le prix au combattant, mieux il faut combattre. Ainsi fait-on lors des courses : quand arrive le terme de la course et qu’on s’approche du but, on stimule davantage la fougue des chevaux. Lire le reste de cette entrée »

Homélie sur la moisson abondante, 10,3 ; PG 63, 515-524 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 108)

Quand l’agriculteur sort de chez lui pour aller faire la moisson, il déborde de joie et resplendit de bonheur. Il n’envisage ni les peines ni les difficultés qu’il pourra rencontrer. Ayant en tête la moisson qui va lui revenir, il court, il se hâte de faire la récolte annuelle. Absolument rien ne peut le retenir, l’empêcher ou le faire douter de l’avenir : ni pluie, ni grêle, ni sécheresse, ni légions de sauterelles malfaisantes. Ceux qui s’apprêtent à moissonner ne connaissent pas ces inquiétudes, si bien qu’ils se mettent au travail en dansant et en bondissant de joie. Lire le reste de cette entrée »

Homélies sur la conversion prononcées à son retour de la campagne, n°1 (trad. DDB 1978, p. 32)

Judas avait exprimé son repentir : «J’ai péché en livrant un sang innocent» (Mt 27,4). Mais le démon, qui avait entendu ces paroles, a compris que Judas était sur la bonne voie et cette transformation l’a effrayé. Puis il a médité : « Son maître est bienveillant, pensait-il ; au moment où il allait être trahi par lui, il a pleuré sur son sort et l’a adjuré de mille façons ; il serait étonnant qu’il ne le reçoive pas au moment où il se repent de toute son âme, qu’il renonce à l’attirer à lui s’il se relève et reconnaît ainsi sa faute. N’est-ce pas pour cela qu’il a été crucifié ? » Lire le reste de cette entrée »

Homélie 15 sur la Lettre aux Romains ; PG 60, 543-548 (trad. Bouchet, p.126)

Le Père n’a pas épargné son propre Fils (Rm 8,32) ; toi, tu ne donnes même pas un morceau de pain à celui qui a été livré et immolé pour toi. Le Père, pour toi, ne l’a pas épargné ; toi tu passes, méprisant, à côté du Christ qui a faim, alors que tu ne vis que de ses bienfaits… Il a été livré pour toi, immolé pour toi, il vit dans le besoin pour toi, il veut que la générosité te soit avantageuse et, même ainsi, tu ne donnes pas. Y a-t-il des pierres aussi dures que vos cœurs alors que tant de raisons les interpellent ? Il n’a pas suffi au Christ d’endurer la mort et la croix ; il a voulu devenir pauvre, mendiant et nu, être jeté en prison (Mt 25,36) afin que cela au moins te touche. Lire le reste de cette entrée »

Homélies sur l’évangile de Matthieu, n°39

« Le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat »… La loi du sabbat était à son début de la plus haute importance : elle apprenait aux juifs à être doux et pleins d’humanité pour leurs proches ; elle leur enseignait à croire en la sagesse et en la providence de Dieu le créateur… Quand Dieu leur a donné la loi du sabbat, il leur a fait comprendre qu’il voulait seulement qu’ils s’abstiennent de tout mal : « Vous ne ferez rien en ce jour, sauf les œuvres qui concernent l’âme » (Ex 12,16 LXX). Dans le Temple on travaillait en ce saint jour plus que d’ordinaire… Ainsi l’ombre de la Loi préparait la lumière de la pleine vérité (cf Col 2,17). Lire le reste de cette entrée »

2e Homélie sur l’inscription du livre des Actes des apôtres

Imitons la conduite des apôtres, et nous ne leur serons inférieurs en rien. En effet ce ne sont pas leurs miracles qui les ont fait apôtres, c’est la sainteté de leur vie. C’est à cela qu’on reconnaît un disciple du Christ. Cette marque, le Seigneur lui-même nous l’a clairement donnée : lorsqu’il a voulu tracer le portrait de ses disciples et révéler le signe qui distinguerait ses apôtres, il dit : « Voici à quoi les hommes reconnaîtront que vous êtes mes disciples ». Quel signe ? Faire des miracles ? Ressusciter les morts ? Pas du tout. Mais à quoi donc ? « Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c’est l’amour que vous aurez les uns pour les autres » (Jn 13,35). Lire le reste de cette entrée »

Sermon sur le diable tentateur ; PG 49, 263-264

Voulez-vous que je vous indique les chemins de la conversion ? Ils sont nombreux, variés et différents, mais tous conduisent au ciel. Le premier chemin de la conversion, c’est la condamnation de nos fautes. « Commence toi-même par dire tes fautes, pour être justifié » (Is 43,26). Et c’est pourquoi le prophète disait : « J’ai dit : Je veux confesser au Seigneur les iniquités que j’ai commises ; et toi, tu as pardonné le péché de mon cœur » (Ps 31,5). Condamne donc toi-même les fautes que tu as commises, et cela suffira pour que le Maître t’exauce. Celui qui condamne ses fautes, en effet, craindra davantage d’y retomber… Lire le reste de cette entrée »

Homélie à la mémoire de saint Bassus, 2 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 115 rev.)

Aujourd’hui encore, le Christ est pour nous un maître plein de douceur et d’amour…. Voyez comment il agit. Il se montre compatissant pour le pécheur qui mérite pourtant ses rigueurs. Ceux qui provoquent sa colère devrait être anéantis, mais il adresse aux hommes coupables des paroles pleines de douceur : « Venez à moi, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur ». Dieu est humble ; l’homme, orgueilleux. Le juge se montre clément ; le malfaiteur, arrogant. L’artisan dit des paroles d’humilité ; l’argile discourt à la manière d’un roi (cf Is 29,16; 45,9). «Venez à moi, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur.» Il n’apporte pas le fouet pour châtier, mais le remède pour guérir. Lire le reste de cette entrée »

Homélies sur l’évangile de Matthieu, n°78, 2-3; PG 58, 713-714

La parabole des talents concerne tous les hommes qui, au lieu de venir en aide à leurs frères par leurs biens, leurs conseils, ou tout autre moyen, ne vivent que pour eux-mêmes…

Dans cette parabole, Jésus veut nous révéler la longue patience de notre Seigneur, mais, à mon avis, il y fait aussi allusion à la résurrection générale… Lire le reste de cette entrée »

1ère homélie avant son 1er exil, 1-3 ; PG 52, 427-430

Les houles sont nombreuses et la tempête gronde. N’importe ! Je ne crains pas de naufrage, car une pierre solide est mon appui. Que la mer se déchaîne, elle ne brisera pas ce roc ; que les flots se soulèvent, ils ne peuvent engloutir la barque de Jésus. Je vous le demande, mes bien-aimés, qu’est-ce que je peux craindre, de quoi m’effrayer ? La mort ? « Ma vie, c’est le Christ, et mourir est un avantage » (Ph 1,21). L’exil ? « La terre est au Seigneur et tout ce qui la remplit » (Ps 23,1). La confiscation des biens ? « De même que nous n’avons rien apporté dans le monde, nous ne pourrons rien emporter » (1Tm 6,7)… Si vous trouvez difficile de croire ces paroles, croyez les faits. Combien de tyrans ont essayé d’aantir l’Église ?… Mais tout cela n’a rien gag contre elle. Ces hommes, persécuteurs achars, où sont-ils ? Tombés en oubli. Et l’Église, où est-elle? La voilà, avec son éclat éblouissant comme le soleil…
Lire le reste de cette entrée »

3e homélie sur 1 Corinthiens

« Ayez tous un même langage ; qu’il n’y ait pas de schismes parmi vous » (1Co 1,10). Les diverses parties de l’Église ne sont plus entières quand une souffre et meurt. Si toutes les églises étaient à elles seules un corps complet, il y aurait des assemblées ou réunions nombreuses ; mais elle forme un seul corps et le schisme détruit son unité… Après avoir dénoncé ce mal en utilisant ce mot amer de « schisme », l’apôtre Paul adoucit en ajoutant : « Soyez tous unis dans le même esprit et dans le même sentiment. » Il ne s’agit pas seulement d’un accord de paroles mais d’une union de pensée et de sentiments. Et comme il peut arriver qu’on soit unis sur un point mais divisés sur d’autres, Paul insiste : « Soyez unis d’une manière parfaite »…, parfaits dans la charité. Lire le reste de cette entrée »

Homélies sur l’évangile de Matthieu, n°50, 3-4 (trad. bréviaire)

Tu veux honorer le Corps du Christ ? Ne le méprise pas lorsqu’il est nu. Ne l’honore pas ici, dans l’église, par des tissus de soie tandis que tu le laisses dehors souffrir du froid et du manque de vêtements. Car celui qui a dit : «Ceci est mon corps» (Mt 26,26), et qui l’a réalisé en le disant, c’est lui qui a dit : «Vous m’avez vu avoir faim, et vous ne m’avez pas donné à manger» et aussi : «Chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait» (Mt 25,42.45). Ici le corps du Christ n’a pas besoin de vêtements, mais d’âmes pures ; là-bas il a besoin de beaucoup de sollicitude… Dieu n’a pas besoin de vases d’or mais d’âmes qui soient en or. Lire le reste de cette entrée »

Homélies sur la 1ère lettre aux Corinthiens, n° 27 (trad. AELF)

L’Église n’existe pas pour que nous restions divisés en y venant, mais bien pour que nos divisions y soient éteintes ; c’est le sens de l’assemblée. Si c’est pour l’eucharistie que nous venons, ne posons donc aucun acte qui contredise l’eucharistie, ne faisons pas de peine à notre frère. Vous venez rendre grâce pour les bienfaits reçus : ne vous séparez pas de votre prochain. Lire le reste de cette entrée »

Sermons sur saint Matthieu, n° 15

« Vous êtes le sel de la terre » dit le Sauveur ; il leur montre par là combien sont nécessaires tous les préceptes qu’il vient d’énoncer. « Ma parole, leur dit-il, ne sera pas seulement pour votre propre vie, mais elle vous est confiée pour le monde entier. Je ne vous envoie pas à deux villes, à dix ou à vingt, ni à un seul peuple, comme autrefois les prophètes. Je vous envoie à la terre, à la mer, à toute la création (Mc 16,15), partout où abonde le mal. Lire le reste de cette entrée »

Catéchèses baptismales, (trad. SC 50 bis, p. 160s)

Veux-tu savoir quelle force est cachée dans le sang du Christ ? Vois d’où il a commencé à couler et d’où il a pris sa source : il descend de la croix, du côté du Seigneur. Comme Jésus déjà mort, dit l’Évangile, était encore sur la croix, le soldat s’approcha, « lui ouvrit le côté d’un coup de sa lance et il en jaillit de l’eau et du sang » (Jn 19,33-34). Cette eau était le symbole du baptême, et le sang, celui des mystères eucharistiques… C’est donc le soldat qui lui a ouvert le côté ; il a percé la muraille du temple saint ; et moi, j’ai trouvé ce trésor et j’en ai fait ma richesse… Lire le reste de cette entrée »

mai 2023
D L M M J V S
 123456
78910111213
14151617181920
21222324252627
28293031  

Catégories

Flickr Photos

Le christianisme orthodoxe..com. L'annuaire des sites web orthodoxes

LECTURES

Romans

Blog Stats

  • 273 371 hits

Entrez votre adresse mail pour suivre ce blog et être notifié par email des nouvelles publications.

Rejoignez les 416 autres abonnés
Follow ~ . ~ Sous le patronage de Saint Ignace le Théophore ~ .. ~ on WordPress.com
%d blogueurs aiment cette page :