Géron Porphyrios Témoignage et Expérience, Klitos Ioannidis, éditions le saint couvent de la transfiguration du Sauveur – Athènes, 2005, p.117 et 122
Géronda affirmait qu’il ne fallait pas dire : « Seigneur, aie pitié d’Untel » ou « Seigneur, aie pitié de nous » mais « Seigneur, aie pitié de moi » parce que, nous a-t-il expliqué, puisque l’Église du Christ est un corps, dans le « Aie pitié de moi » sont contenus les vivants et les morts. Et que, si la prière ne s’étend pas à tous, alors elle n’est pas ecclésiastique.
… il disait : « la prière est la mère de tous les biens, il suffit qu’elle soit dite avec humilité, sans aucun égoïsme, avec amour pour le Christ. »
Il nous disait d’aimer le Christ autant que nous le pouvions. « Celui qui aime le Christ, celui-là évite le péché. »


















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