Je me tiens devant les portes de ton sanctuaire et les pensées qui me combattent ne me quittent pas.
Mais, ô Christ notre Dieu, toi qui as justifié le publicain, qui as pris en pitié la Cananéenne et qui as ouvert au larron les portes du paradis, ouvre-moi les entrailles de ton amour des hommes et tandis que je m’approche de toi et que je te touche, accueille-moi comme la pécheresse et l’hémorroïsse ; l’une, ayant touché le bord de ton vêtement, reçut immédiatement la guérison, et l’autre, ayant saisi tes pieds sacrés, obtint la rémission de ses péchés.
Et moi, misérable, j’ose recevoir ton corps tout entier. Ne me consume pas mais accueille-moi comme ces deux femmes, illumine les sens de mon âme et brûle la souillure de mes péchés, par les prières de celle qui t’a enfanté sans semence et des puissances célestes, car tu es béni dans les siècles des siècles. Amin.


















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