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Fleurs du jardin de la Mère de Dieu, Père Païssios, Edition Monastère saint Jean le Théologien – Souroti de Thessalonique, Grèce, 1994 – p. 201
Tous les hommes reçoivent les riches bénédictions de Dieu, mais peu d’entre eux rendent grâces à Dieu, sont satisfaits et joyeux auprès du Christ. Lire le reste de cette entrée »
Le vénérable Georges (Hadji-Georgis), monastère saint Jean le Théologien – Souroti de Thessalonique, 1996 – p. 88
… De même, l’allégresse ressentie par les âmes des Chrétiens qui mènent le « bon combat », veillent, prient et jeûnent ne peut pas être imaginée par ceux qui mangent tout ce qu’ils veulent et quand ils le veulent, boivent du vin et des boissons rafraîchissantes. Lire le reste de cette entrée »
Géron Porphyrios, Klitos Ioannidis, Éditions le saint monastère de la Transfiguration – Athènes 2005
p.213 A propos d’un mariage d’un jeune avec une fille pas très croyante : « Bien, c’est possible même ainsi que vous vous mariiez. Quand elle te verra toi qui, menant une vie chrétienne, connais la paix et la joie, elle t’enviera, et d’elle-même, elle voudra se rapprocher du Christ. » Lire le reste de cette entrée »
Souhaitant partager avec le plus grand nombre l’enseignement spirituel du saint Père Païssios l’Athonite, nous relayons ces liens sur une série qui a été tournée en langue grecque et qui reproduit très fidèlement des épisodes de la vie de notre grand saint contemporain.
Le titre de la série en grec : Agios Paisios: Apo ta Farasa ston ourano.
Que la vie de saint Païssios qui fut écrite et traduite en de multiples langues soit pour chacun, petit et grand, une source d’inspiration pour une réelle et véritable conversion des cœurs. Lire le reste de cette entrée »
Fleurs du jardin de la Mère de Dieu, Père Païssios, Edition Monastère saint Jean le Théologien – Souroti de Thessalonique, Grèce, 1994. De la terre au Ciel: le retour à Dieu, p. 179, 181 et 182
L’expérience s’acquiert au feu des démons que reçoit le soldat du Christ lors de la bataille spirituelle. Avant de commencer la bataille, l’Ennemi commence par bombarder l’homme de « pensées ». La prière de Jésus est l’arme la plus lourde contre les pensées de l’Ennemi. Lire le reste de cette entrée »
Saint Païssios dans « l’Anicen Païssios de la sainte Montagne » par l’Hiéromoine Isaac – Editions L’Age d’Homme 2009, p. 232, 233 et 234.
… Lorsqu’il y avait une Divine Liturgie dans sa calyve, il demandait au prêtre ce qu’il voulait qu’il lise jusqu’à la proscomidie : les Heures, l’office d’intercession à la Mère de Dieu, l’office de préparation à la Sainte Communion ou qu’il dise la Prière de Jésus : « J’ai l’habitude de me soumettre à tout ce que veut le prêtre », disait-il. Lire le reste de cette entrée »
Le vénérable Georges (Hadji-Georgis), monastère saint Jean le Théologien – Souroti de Thessalonique, 1996 – p. 90
Les lois spirituelles fonctionnent ainsi d’après moi. Plus haut jette-t-on un objet, avec d’autant plus de force est-il attiré par l’attraction terrestre et s’écrase-t-il (loi naturelle). Lire le reste de cette entrée »
Saint Païssios dans « l’Anicen Païssios de la sainte Montagne » par l’Hiéromoine Isaac – Editions L’Age d’Homme 2009, p. 403.
L’Ancien était en guerre contre les hérésies. Il était rigoureux sur les sujets concernant la Foi et inflexible. Il disait : « Dans le domaine de la vérité, il n’y a pas de rabais possible. La Vérité, c’est le Christ. » Lire le reste de cette entrée »
Fleurs du jardin de la Mère de Dieu, Père Païssios, Edition Monastère saint Jean le Théologien – Souroti de Thessalonique, Grèce, 1994 – p. 80
Le père Philarète, Higoumène du monastère de Constamonitou dit à un laïc qui venait le voir : Toi, mon pauvre, tu ne souffres d’aucune maladie corporelle et tu dilapides en vain ton argent chez les médecins. Lire le reste de cette entrée »
Fleurs du jardin de la Mère de Dieu, Père Païssios, Edition Monastère saint Jean le Théologien – Souroti de Thessalonique, Grèce, 1994 – p. 195
Autre est la piété intérieure, autre la piété extérieure – tout comme la piété orthodoxe de l’Orient diffère de la piété de l’Occident. La piété intérieure est pleine de la Grâce divine, tandis que la piété extérieure est pleine du raisonnement humain. Lire le reste de cette entrée »
Fleurs du jardin de la Mère de Dieu, Père Païssios, Edition Monastère saint Jean le Théologien – Souroti de Thessalonique, Grèce, 1994 – p. 186
L’homme qui porte humblement la faute de son frère a un amour plus noble que celui qui porte la lourde besace de son compagnon de route. Lire le reste de cette entrée »
Le Vénérable Georges (Hadji-Georgis), Père Païssios, Edition Monastère saint Jean le Théologien – Souroti de Thessalonique, Grèce, page 44
Il disait à ses disciples et aux visiteurs : « Le meilleur médicament est la Communion fréquente aux Très Purs Mystères du Christ. La confession fréquente et la divine Communion sont les conditions fondamentales et indispensables pour acquérir sur terre l’allégresse et au Ciel la jubilation ». Lire le reste de cette entrée »
Le vénérable Georges (Hadji-Georgis), monastère saint Jean le Théologien – Souroti de Thessalonique, 1996 – p. 86-87
L’immense amour de Dieu, qui ne veut pas qu’une seule âme faible se perde, permet que des justes soient accusés et calomniés injustement. Mais, à la fin, la vérité se manifeste ! De cette manière, Il nous aide, nous aussi, à avoir toujours de bonnes pensées face au mal que nous entendons dire de notre prochain et à nous demander: « S’agit-il de calomnies ? » A l’évidence, les coupables éprouvent eux aussi une certaine consolation; ils prennent peu à peu conscience de leur culpabilité et, s’ils ont de la bonne volonté, ils sont accusés par leur conscience et se corrigent. Bref, Dieu allège parfois le fardeau des coupables en permettant à des justes, forts spirituellement, d’être calomniés.
Fleurs du jardin de la Mère de Dieu, monastère saint Jean le Théologien – Souroti de Thessalonique, 1994 – p. 190
« Ne considérez pas comme une perte de temps le travail spirituel que vous accomplissez sur vous-mêmes, car c’est une condition à votre progrès spirituel et une aide positive pour vos semblables. »


















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