L’ancien Ephrem de Katounakia, éditions l’Age d’Homme, page 39

Je me suis abreuvé aux très douces sources du Paradis et j’ai pris soin de ne pas en tirer de l’orgueil.

J’ai bu les eaux très amères de l’enfer, mais j’ai veillé à ne pas me laisser terrasser par le désespoir.