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Divine Liturgie, mardi le 25 décembre à 10h30.
Tropaire, ton 4:
Ta Nativité, Ô Christ notre Dieu, a fait resplendir dans le monde, la lumière de la connaissance. En elle les adorateurs des astres, apprirent d’un astre à t’adorer, Ô soleil de justice, et à te connaître soleil levant venu d’en haut; Seigneur, gloire à Toi.
Kondak, ton 3:
En ce jour la Vierge enfante, Celui qui transcende tous les êtres, et la terre abrite en une grotte l’Inaccessible; les bergers avec les anges chantent Sa gloire, et les mages avec l’étoile jubilent, car pour nous vient de naître, Enfant nouveau-né, le Dieu d’avant les siècles.
Epître aux Galates: 4, 4-7; Evangile selon Saint Mathieu: 2, 1-12
La Pénitence, I, 1 (trad. SC 179, p.53 rev.)
La modération est sans doute la plus belle des vertus… De ce fait, celui qui s’applique à corriger les défauts de la faiblesse humaine doit supporter et en quelque sorte peser cette faiblesse sur ses propres épaules, et non pas la rejeter. Car on lit que le berger de l’Évangile a porté la brebis fatiguée, non qu’il l’a rejetée (Lc 15,5)…
La modération, en effet, doit tempérer la justice. Autrement, comment quelqu’un pour qui tu montres du dégoût — quelqu’un qui penserait être pour son médecin un objet de mépris et non de compassion — comment pourrait-il venir vers toi pour être soigné ?
C’est pourquoi le Seigneur Jésus a fait preuve de compassion envers nous. Son désir était de nous appeler à lui, et pas de nous faire fuir en nous effrayant. La douceur marque sa venue ; sa venue est marquée par l’humilité. Il a dit d’ailleurs: « Venez à moi, vous tous qui peinez, et je vous réconforterai ». Ainsi donc, le Seigneur Jésus réconforte, il n’exclut pas, il ne rejette pas. Et c’est à bon droit qu’il a choisi pour disciples des hommes qui, en fidèles interprètes de la volonté du Seigneur, rassembleraient le peuple de Dieu, au lieu de le repousser.
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