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Tropaire de la fête de l’Entrée du Seigneur au Temple “la Sainte Rencontre”, ton 1:
Réjouis-toi pleine de grâce Vierge Mère de Dieu, car de toi s’est levé le soleil de justice le Christ notre Dieu, illuminant ceux qui sont dans les ténèbres; et toi aussi juste vieillard Syméon, exulte en recevant dans tes bras le libérateur de nos âmes, Celui qui nous fait don de la Résurrection.
kondak de la fête de l’Entrée du Seigneur au Temple “la Sainte Rencontre”, ton 1:
Ô Toi qui par Ta naissance as sanctifié le sein virginal, et qui as béni les mains de Syméon comme il le fallait; En venant à notre rencontre, Tu nous as sauvés ô Christ notre Dieu. Accorde la paix aux peuples plongés dans la guerre et fortifie Ton Eglise que Tu as aimée, Toi le seul ami des hommes.
Synaxe du saint et juste Syméon le Théodoque et de sainte Anne la prophétesse.
1Epître à Timothée: 4, 9-15; Evangile selon Saint Luc: 19, 1-10
Divine Liturgie suivie de la catéchèse du mois de janvier. ‘Joseph’ nous présentera le thème de la séance qui portera sur le sujet suivant: “Vivre la Divine Liturgie”.
Cet évêque [celui de Philadelphie d’Asie Mineure], je sais que ce n’est pas de lui-même, ni par les hommes (Ga.1,1), qu’il a obtenu ce ministère qui est au service de la communauté, ni par vaine gloire, mais par la charité de Dieu le Père et du Seigneur Jésus-Christ. Je suis frappé de sa bonté: par son silence, il peut plus que les vains discoureurs. Il est accordé aux commandements, comme la cithare à ses cordes. C’est pourquoi mon âme le félicite de ses sentiments envers Dieu – je sais qu’ils sont vertueux et parfaits – de son caractère inébranlable et sans colère, selon toute la bonté du Dieu vivant.
Ainsi, enfants de la lumière de vérité, fuyez les divisions et les mauvaises doctrines; là où est votre berger, suivez-le comme des brebis. Car beaucoup de loups apparement dignes de foi captivent par des plaisirs mauvais ceux qui courent [la course] de Dieu; mais ils n’auront pas place dans votre unité.
Ci-joint l’appel de l’ACAT pour le mois de janvier 2008 intitulé:
« IRAK, soutenons les chrétiens en danger ! »
Ci-joint le communiqué de l’Assemblée des Evêques Orthodoxes en France – AEOF – au sujet de la disparition de feu son Eminence, Monseigneur Christodoulos, Archevêque d’Athènes et de toute la Grèce.
La prochaine soirée en français, organisée par la paroisse Saint Constantin et Hélène (Métropole Grecque – Patriarcat Oecuménique), 2 bis rue Lafferrière, 75009 Paris, aura lieu le mardi 29 janvier à 20 heures.
Le thème de l’entretien est: « La tradition de l’Eglise Orthodoxe d’Antioche » – histoire et actualité – avec Carol Saba, responsable de la communication de l’Assemblée des Evêques Orthodoxes de France et secrétaire du conseil paroissial de la paroisse antiochienne à Paris.
Cent mille chrétiens attendent avec joie la consécration de la première église au Qatar depuis 1400 ans. Dédié à la Vierge par les fidèles catholiques (presque 100.000) composés essentiellement de populations d’origine Indienne, Philippine et Libanaise, elle sera inaugurée courant du mois de mars de l’année en cours.

Agé de 69 ans et très populaire en Grèce, « L’archevêque [et primat de l’église orthodoxe en Grèce] est mort aux alentours de 05h ce matin (4h à Paris) », a déclaré un responsable de l’archevêché d’Athènes. « Le Saint Synode (l’organe dirigeant de l’Eglise de Grèce) fera une annonce dans quelques heures ».
Que le Seigneur notre Dieu fasse reposer son âme là où les justes jouissent du repos, amin.
La prochaine catéchèse de la Paroisse aura lieu le dimanche 3 février après la Divine Liturgie.
‘Joseph’ nous présentera le thème de la séance qui portera sur le sujet suivant: « Vivre la Divine Liturgie »
La participation de chacun est un enrichissement pour l’autre et une joie pour le Seigneur car « là où deux ou trois se trouvent réunis en mon nom [dit le Christ Jésus], je suis au milieu d’eux » (Mt.18,20).
En réponse à de nombreuses demandes, nous mettons dans le dossier ‘FLICKR » sur la marge de notre page, des photos de la fête du Dimanche des Rameaux et de la Grande Semaine Pascale de l’année 2007.
La Vie en Christ, II, 75s (trad. cf SC 355, p. 203)
Il y a pour nous deux façons de connaître les objets : la connaissance que l’on peut recevoir par ouï-dire, et puis celle que l’on peut acquérir par soi-même.
Par la première, nous n’atteignons pas l’objet lui-même, mais nous le percevons par les mots, comme en une image…; au contraire, faire l’expérience des objets, c’est les rencontrer eux-mêmes. Dans la seconde sorte de connaissance, la forme de l’objet saisit l’âme et éveille le désir comme une trace à la mesure de sa beauté…
De même, lorsque notre amour pour le Sauveur ne produit rien de nouveau ni d’extraordinaire, il est évident que nous n’avons eu affaire qu’à des paroles entendues à son sujet. Comment par ouï-dire pourrions-nous connaître comme il le mérite celui à qui rien ne ressemble…, celui à qui rien ne peut être comparé et qui ne peut être comparé à rien ? Comment pourrions-nous connaître sa beauté et l’aimer à la mesure de sa beauté ?
Mais quand des hommes éprouvent un vif désir de l’aimer, une envie de faire pour lui des choses qui surpassent la nature humaine, alors c’est l’Epoux lui-même qui les a blessés. Il a ouvert leurs yeux à sa beauté. La profondeur de la blessure témoigne que la flèche a frappé juste ; l’ardeur de leur désir révèle qui les a blessés. Voilà comment la nouvelle Alliance est différente de l’Ancienne : jadis c’était une parole qui éduquait les hommes ; aujourd’hui c’est le Christ présent en personne qui, d’une manière indicible, prépare et modèle les âmes des hommes.
Si l’enseignement de la Loi avait suffi pour mener l’homme à sa fin, les actes aussi extraordinaires qu’un Dieu devenu homme, crucifié et qui meurt n’auraient pas été nécessaires. Cela est vrai aussi des apôtres, nos pères dans la foi. Ils avaient entendu l’enseignement du Sauveur, les paroles de sa bouche ; ils avaient vu ses miracles et tout ce qu’il avait supporté pour les hommes, l’avaient vu mourir, ressusciter et regagner le ciel. Tout cela, ils le savaient, mais ils n’ont rien montré de nouveau, de généreux, de vraiment spirituel, jusqu’à ce qu’ils soient baptisés dans l’Esprit Saint…
Alors seulement, le vrai désir du Christ a été allumé en eux et par eux dans les autres.
Ton 2 des tropaires de la Résurrection (voir fichier dans le dossier ‘Prières’)
kondak de la fête de l’Entrée du Seigneur au Temple “la Sainte Rencontre”, ton 1:
Ô Toi qui par Ta naissance as sanctifié le sein virginal, et qui as béni les mains de Syméon comme il le fallait; En venant à notre rencontre, Tu nous as sauvés ô Christ notre Dieu. Accorde la paix aux peuples plongés dans la guerre et fortifie Ton Eglise que Tu as aimée, Toi le seul ami des hommes.
Translation des reliques de notre Père parmi les saints, Jean Chrysostome, Mémoire de sainte Marcienne.
Epître aux Hébreux: 7, 26-28 & 8, 1-2; Evangile selon Saint Luc: 18, 35-43
Le journal « La Croix » dans son édition du 22 janvier a publié un article commentant, selon son auteur, le développement du dialogue oecuménique:
Avec ses cinq siècles d’histoire et ses bâtiments gothiques, la faculté de Christ Church à Oxford – qui abrite aussi la cathédrale anglicane de la ville – en impose par une certaine solennité. Dans la cantine des professeurs, les enseignants échangent des salutations feutrées. Mais si le ton est calme, le propos n’hésite pas à être percutant.
Sous le patronage de l’Unesco et au profit d’un projet de bourses scolaires pour des jeunes filles de milieu défavorisé au Liban, le pianiste Abdel Rahman el Bacha manifestera son soutien en jouant le mardi 29 janvier 2008 au Grand Auditorium de l’Unesco à Paris.
Pour plus d’information, veuillez consulter le document joint:
Le prince de ce monde veut m’arracher, et corrompre les sentiments que j’ai pour Dieu. Que personne donc, parmi vous qui êtes là, ne lui porte secours; plutôt soyez pour moi, c’est à dire pour Dieu. N’allez pas parler de Jésus Christ, et désirer le monde. Que la jalousie n’habite pas en vous. Et si, quand je serai près de vous, je vous implore, ne me croyez pas. Croyez plutôt à ce que je vous écris. C’est bien vivant que je vous écris, désirant de mourir.
Mon désir terrestre a été crucifié, et il n’y a plus en moi de feu pour aimer la matière, mais en moi une « eau vive » (cf. Jn.4,10; Ap.14,25) qui murmure et qui dit au-dedans de moi: « Viens vers le Père » (cf. Jn.14,12…). Je ne me plais plus à une nourriture de corruption ni aux plaisirs de cette vie; c’est le pain de Dieu que je veux, qui est la chair de Jésus-Christ, de la race de David (Jn.7,42; Rm.1,3), et pour boisson je veux son sang, qui est l’amour incorruptible.
Dans le cadre des rencontres organisées par la paroisse orthodoxe russe Saint Nicolas, Son Eminence Laurentio, Archevêque de Sibiu et Métropolite de Transylvanie (Roumanie), donnera une conférence sur le thème: « La signification des symboles du rite baptismal d’après les Pères de l’Eglise ».
La rencontre, précédée par la célébration des vigiles à 18h (avec la participation des chorales roumaine et russe), aura lieu à 20h à la cathédrale Saint Nicolas – 06000 Nice.
Homélies sur Saint Jean, n° 19
«Tu es Simon, fils de Jean ; tu t’appelleras désormais Céphas, c’est-à-dire Pierre»… Voilà le nom que le Christ donne à Simon. Quant à Jacques et son frère, il les appellera «Fils du tonnerre» (Mc 3,17).
Pourquoi ces changements de nom ? Pour montrer que lui, Jésus, est le même que celui qui avait établi l’ancienne alliance, qui avait déjà changé le nom d’Abram en Abraham, celui de Saraï en Sara, et celui de Jacob en Israël (Gn 17,5s;32,29). Il avait aussi donné leur nom à plusieurs personnes au moment de leur naissance : Isaac, Samson, les enfants d’Isaïe et d’Osée…
Aujourd’hui, nous avons un nom bien supérieur à tous les autres ; c’est le nom de «Chrétien» – le nom qui fait de nous enfants de Dieu, amis de Dieu, un même corps avec lui.
Y a-t-il un autre nom qui pourrait plus nous rendre ardents dans les vertus, nous remplir de zèle, nous pousser à faire le bien ? Gardons-nous bien de faire quoi que ce soit d’indigne de ce nom si grand et si beau, lié au nom de Jésus Christ lui-même. Ceux qui portent le nom d’un grand chef militaire ou d’un personnage illustre se considèrent honorés et font tout pour en rester dignes.
Combien plus, nous qui tirons notre nom non d’un général ou d’un prince de cette terre, ni même d’un ange, mais du roi des anges, combien plus devons-nous être prêts à tout perdre, même notre vie, pour l’honneur de ce saint nom ?
Ton 1 des tropaires de la Résurrection (voir fichier dans le dossier ‘Prières’)
kondak de la fête de l’Entrée du Seigneur au Temple « la Sainte Rencontre », ton 1:
Ô Toi qui par Ta naissance as sanctifié le sein virginal, et qui as béni les mains de Syméon comme il le fallait; En venant à notre rencontre, Tu nous as sauvés ô Christ notre Dieu. Accorde la paix aux peuples plongés dans la guerre et fortifie Ton Eglise que Tu as aimée, Toi le seul ami des hommes.
Mémoire de saint Euthyme le Grand et du saint martyr Eusèbe.
2Epître aux Corinthiens: 4, 6-15; Evangile selon Saint Luc: 17, 12-19
Rien ne me servira des charmes du monde ni des royaumes de ce siècle. Il est bon pour moi de mourir (cf. 1Co.9,15) pour m’unir au Christ Jésus, plus que de régner sur les extrémités de la terre. C’est Lui que je cherche, qui est mort pour nous; Lui que je veux, qui est ressuscité pour nous. Mon enfantement approche.
Pardonnez-moi, frères; ne m’empêchez pas de vivre, ne veuillez pas que je meure. Celui qui veut être à Dieu, ne le livrez pas au monde, ne le séduisez pas par la matière. Laissez-moi recevoir la pure lumière; quand je serai arrivé là, je serai un homme. Permettez-moi d’être un imitateur de la passion de mon Dieu. Si quelqu’un a Dieu en lui, qu’il comprenne ce que je veux, et qu’il ait compassion de moi, connaissant ce qui m’étreint (cf.Ph.1,23).
Le site pagesorthodoxes.net, propose dans sa rubrique « Foi Orthodoxe » le témoignage de l’Archimandrite Placide (Deseille), higoumène du monastère Saint Antoine le Grand dans le Vercors. Devenu l’un des plus importants pères spirituels et théologiens orthodoxes français, il nous laisse dans ce texte un témoignage de sa vie de pélerin cheminant vers l’accomplissement en Christ. Il conclut son récit par le passage suivant:
Moines orthodoxes appelés à vivre en terre de France de la tradition de la Sainte Montagne, nous savons que la mission du moine « n’est pas de faire quelque chose par ses possibilités, mais de porter par sa vie le témoignage que la mort a été vaincue. Et cela, il ne le fait qu’en s’enterrant lui-même comme un grain dans la terre (26). »
Le site Zénit.org, publie la traduction française du «Document de Ravenne» discuté et approuvé à l’unanimité par les membres de la «Commission mixte internationale pour le dialogue théologique entre l’Église catholique romaine et l’Église orthodoxe» lors de la dixième session plénière de la Commission à Ravenne (8 – 15 octobre 2007).
Il en découle que le document est le résultat du travail d’une Commission et ne doit pas être considéré comme une déclaration du magistère. Le premier projet et la rédaction finale du document sont en anglais. Le Conseil Pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens a vérifié la traduction française.
Organisée par le groupe oecuménique de Nice, la semaine de prière pour l’unité des Chrétiens débutera le 18 janvier et se prolongera jusqu’au 25 janvier 2008. Le thème choisi pour l’année 2008 est: « Priez sans cesse » (1Th.5,17). Le programme est le suivant:
Vendredi 18 janvier: Eglise Anglicane – 11, rue de la Buffa, à 18h30
Samedi 19 janvier: Clarisses de Cimiez – avenue Sainte Colette, à 18h30
Dimanche 20 janvier: Basilique Notre Dame – avenue Jean Médecin, à 16h
Lundi 21 janvier: Monaco, à 19h
Mardi 22 janvier: Eglise Saint Jean l’Evangéliste (le Ray), à 18h30
Mercredi 23 janvier: Eglise du Vallon des fleurs (paroisse Orthodoxe Roumaine), à 18h30
Jeudi 24 janvier: Centre protestant de l’Ouest – 278, av. Sainte Marguerite, à 18h30
Vendredi 25 janvier: Cathédrale Orthodoxe Russe Saint Nicolas – Boulevard Tsarévitch, à 18h30
Que notre prière s’élève comme l’encens devant le Seigneur !
Contre les hérésies, III, 10-11 (trad. cf. SC 34)
A propos de Jean le Baptiste, nous lisons chez Luc : « Il sera grand devant le Seigneur… il ramènera beaucoup des fils d’Israël au Seigneur leur Dieu. Il marchera devant lui avec l’esprit et la puissance d’Elie… afin de préparer pour le Seigneur un peuple bien disposé » (Lc 1,15-17).
Pour qui donc a-t-il préparé un peuple et devant quel Seigneur a-t-il été grand ?
Sans aucun doute devant celui qui a dit que Jean avait quelque chose de « plus qu’un prophète » et que « personne d’entre les enfants des femmes n’était plus grand que Jean le Baptiste » (Mt 11,9-11). Car Jean préparait un peuple en annonçant d’avance à ses compagnons de servitude la venue du Seigneur et en leur prêchant la pénitence, afin que, lorsque le Seigneur serait présent, ils soient en état de recevoir son pardon, qu’ils reviennent à celui dont ils s’étaient éloignés par leurs péchés et leurs transgressions… C’est pourquoi, en les ramenant à leur Seigneur, Jean préparait au Seigneur un peuple bien disposé, dans l’esprit et la puissance d’Elie…
Jean l’évangéliste nous dit : « Il y eut un homme envoyé par Dieu ; son nom était Jean. Il était venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière. Il n’était pas la Lumière, mais il venait pour lui rendre témoignage » (1,6-8). Ce précurseur, Jean le Baptiste, qui rendait témoignage à la lumière, a été envoyé sans aucun doute par le Dieu qui…avait promis par les prophètes d’envoyer son messager devant la face de son Fils pour lui préparer le chemin (Ml 3,1; Mc 1,2), c’est-à-dire pour rendre témoignage à la Lumière dans l’esprit et la puissance d’Élie…
Précisément parce que Jean est un témoin, le Seigneur dit qu’il était plus qu’un prophète. Tous les autres prophètes ont annoncé la venue de la lumière du Père et ont désiré être jugés dignes de voir celui qu’ils prêchaient. Jean a prophétisé comme eux mais il l’a vu présent, il l’a montré et a persuadé beaucoup de croire en lui, si bien qu’il a tenu à la fois la place d’un prophète et celle d’un apôtre. Voilà pourquoi le Christ dit de lui qu’il était « plus qu’un prophète ».
Dimanche après la Théophanie:
Ton 8 des tropaires de la Résurrection (voir fichier dans le dossier ‘Prières’), kondak de la fête de la Théophanie, ton 4.
Mémoire des saints martyrs Hermyle et Stratonique, saint Maxime (Kavsokalivia).
Epître aux Ephésiens: 4, 7-13; Evangile selon Saint Mathieu: 4, 12-17
Divine Liturgie suivie de la séance de catéchèse du mois de janvier.
ROME, Lundi 7 janvier 2007 (ZENIT.org) – Le journaliste libanais Camille Eid a publié en italien, avec l’écrivain italien Giorgio Paolucci, un ouvrage intitulé « Chrétiens venus de l’islam » (Editions Piemme), rassemblant des témoignages de musulmans convertis au christianisme. Il présente son ouvrage dans cet entretien accordé à ZENIT.
Camille Eid est journaliste au quotidien italien l’« Avvenire ». Il est aussi auteur de livres et de recherches sur le monde arabe et islamique.
La prochaine catéchèse de la Paroisse aura lieu le dimanche 13 janvier après la Divine Liturgie.
‘Frédérique’ nous présentera le thème de la séance qui portera sur le sujet suivant: « Pourquoi je viens à l’Eglise ? »
Merci à ‘Alexis’ qui nous a présenté, au mois de novembre dernier, le premier sujet autour de la « Signification du signe de la Croix ».
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