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C’est avec joie, ferveur et par le chant des hymnes que les saintes reliques de l’Astre du désert Antoine le Grand ont été accueillies à l’église qui lui est dédiée à Moalka – Zahlé. Plusieurs dizaines de fidèles accompagnées de nombreux clercs de Zahlé et de ses alentours ont attendu l’arrivée des saintes reliques lundi soir à l’entrée de la ville après leur départ de Dayr el Harf, portées par le prêtre de la paroisse le R. P. Youhanna (Skaf). Une procession s’est organisée jusqu’à l’église paroissiale où l’office des vêpres a été célébré, suivi de la vénération rendue par les fidèles au grand saint de la chrétienneté. Source: An Nahar
« La contribution hymnographique de l’église orthodoxe d’Antioche au système liturgique byzantin au VI et VII siècle »: C’est avec ce titre que le blog Chants sacrés orthodoxes présente une partie de l’étude effectuée par notre Métropolite Jean (Yazigi) de l’Europe Occidentale et Centrale.
« Au cours du sixième et septième siècle qui forment un ensemble considéré comme la deuxième étape de l’élaboration de l’hymnographie de l’Église, se sont révélés au sein du Patriarcat d’Antioche de nombreux et célèbres compositeurs et psaltes. Ces chercheurs ont enrichi le système liturgique byzantin, avec des textes théologiques profonds qui, lorsqu’ils ont été articulés aux différentes structures et aux tons et combinés avec de nombreuses autres activités d’église développées à cette époque-là révèlent le grand rôle joué par l’Église à Antioche dans ce domaine.
Pour cette étude, nous ne mentionnerons que quatre des grands hommes de ce temps: Sts. Romain (Romanos) et Cosme (Cosmas), Saint-André de Crète, et Saint Jean de Damas (Damascène). » Lire la suite…
Les écrits des Pères Apostoliques, Foi Vivante – Les Éditions du CERF
Mais l’envieux, le jaloux, le mauvais, l’adversaire de la race des justes, voyant la grandeur de son témoignage et sa vie irréprochable dès le début, le voyant couronné de la couronne d’immortalité, et emportant une récompense incontestée, essaya de nous empêcher d’enlever son corps, bien que beaucoup d’entre nous voulussent le faire pour posséder sa sainte chair [Nous avons ici le premier témoignage de la vénération rendue aux reliques des martyrs]. Il suggéra donc à Nicétès, le père d’Hérode, le frère d’Alcè, d’aller trouver le magistrat pour qu’il ne nous livre pas le corps: « Pour qu’ils n’aillent pas, dit-il, abandonner le crucifié et se mettre à rendre un culte à celui-ci. » Il disait cela à la suggestion insistante des Juifs, qui nous avaient surveillés quand nous voulions retirer le corps du feu. Ils ignoraient que nous ne pourrons jamais ni abandonner le Christ qui a souffert pour le salut de tous ceux qui sont sauvés dans le monde, Lui l’innocent pour les pécheurs, – ni rendre un culte à un autre. Car Lui, nous l’adorons, parce qu’Il est le Fils de Dieu; quant aux martyrs, nous les aimons comme disciples et imitateurs du Seigneur, et c’est juste, à cause de leur dévotion incomparable envers leur Roi et Maître; puissions-nous, nous aussi, être leurs compagnons et leurs condisciples.
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