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La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 819
Aucun novice ne peut chasser une pensée, si Dieu ne la chasse pas. Ce sont les forts qui peuvent combattre et chasser les pensées. Cependant, même eux ne les chassent pas par eux-mêmes. C’est avec Dieu qu’ils les combattent et qu’ils les chassent. Toi, quand viennent les pensées, appelle souvent le Seigneur Jésus, dis sans relâche la prière, et elles s’enfuiront. Elles ne supportent pas la chaleur du cœur qui vient de la prière. La chaleur les brûle, et elles fuient. Lire le reste de cette entrée »
La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 818-819
Sache que nul ne peut maîtriser de lui-même l’intelligence, s’il n’est pas maîtrisé par la grâce du Saint-Esprit. Car l’intelligence ne se laisse pas maîtriser, non par nature, puisqu’elle est toujours en mouvement et qu’elle ne peut naturellement pas s’arrêter, mais parce qu’elle s’est dissipée dans sa négligence, en se dispersant ici et là dès l’origine. Lire le reste de cette entrée »
La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 818
Les Pères diffèrent dans leurs recommandations sur la manière dont nous devons prier. L’un demande de dire la prière toute entière : « Seigneur Jésus Christ, Fils de Dieu, aie pitié de moi. » L’autre, d’en dire la moitié : « Jésus, Fils de Dieu, aie pitié de moi », ce qui est plus facile pour la faiblesse de l’intelligence. Car l’intelligence seule ne peut dire d’elle-même purement et parfaitement « Seigneur Jésus », sinon par l’Esprit Saint (Cf. ICor. 12,3). Lire le reste de cette entrée »
La Philocalie–Desclée de Brouwer/J.–C. Lattès, t.2 – p. 817-818
Assieds-toi, tantôt sur un banc pour te donner de la peine, tantôt sur un lit pour détendre et soulager ton corps, et demeure patiemment dans cette position, autant que tu le peux, afin d’accomplir le commandement du divin Paul, qui demande de rester longtemps en prière, de « persévérer dans la prière » (Cf. Rm 12,12), de ne pas te hâter de te décharger de ta peine et de te relever, mais de faire patience, de garder la tête inclinée, de recueillir ton intelligence dans le cœur, et d’appeler à l’aide le Seigneur en disant : « Seigneur Jésus Christ, aie pitié de moi ». Lire le reste de cette entrée »
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